L’Olympique de Marseille a plus que jamais les yeux rivés sur le prochain exercice. Après avoir annoncé un accord de principe avec Angel Gomes, le milieu de terrain du LOSC qui sera libre le 30 juin prochain, le club phocéen a bouclé ce week-end l’arrivée de Conrad Jaden Egan-Riley, lui aussi en fin de contrat mais du côté de Burnley. Très actif durant ce début de marché des transferts et à la recherche des meilleures opportunités pour éviter de malmener ses finances, la formation marseillaise a ainsi déjà officialisé sa deuxième recrue de l’été afin de renforcer une défense régulièrement pointée du doigt la saison dernière.

S’il espère faire preuve de plus de solidité à l’arrière lors de l’exercice prochain pour éviter quelques faux-pas sur la scène nationale et continentale, l’OM est toutefois d'ores et déjà assuré de faire sensation sur le terrain, mais sur le plan purement esthétique. Et pour cause. À presque deux mois de la reprise de la Ligue 1, le club du sud de la France a présenté ce lundi son nouveau maillot domicile, qui sera ainsi arboré la saison prochaine lors de toutes ses rencontres au stade Vélodrome. Concernant cette tunique, la formation olympienne et son équipementier Puma n’ont pas souhaité bousculer les codes, optant pour un design classique.

Un maillot simple mais vintage

Quelques nouveautés sont en revanche à mettre en avant, comme le retour du col en V mais aussi la présence de motifs en bleu ciel olympien sur l’ensemble de la tenue. “Plus qu’une simple tenue de match, cette nouvelle tunique fait déjà partie de la vie des Marseillais et rend hommage à l’âme de la ville et à la richesse de son héritage (...) Le maillot rend hommage à l’histoire du club à travers 10 anciens logos olympiens présents en surbrillance sur le pattern blanc immaculé du maillot (...) Ce maillot incarne l’élégance intemporelle des générations marseillaises qui ont façonné le club”, explique le club marseillais dans son communiqué. Mieux armé, l'OM est désormais assuré d'être également bien habillé la saison prochaine.