Pourquoi Chris Finch n'a-t-il fait jouer Julius Randle que 10 minutes en seconde période dans le Game 2 à Oklahoma City ? « J’ai trouvé que Naz Reid faisait un bon match et je voulais voir si on pouvait écarter le jeu, prendre des décisions rapides, changer le match », répond le coach de Minnesota.

C'est surtout parce que Julius Randle, pourtant très bon dans la première manche, est passé à côté de sa rencontre, en terminant avec seulement 6 points au compteur, à 2/11 à shoot, et avec quatre ballons perdus. « On doit être plusieurs à élever notre niveau. C’est un de nos meilleurs joueurs et s’il n’est pas bien, les autres doivent combler les vides », explique Jaden McDaniels. « Je ne suis pas inquiet pour lui, je le vois travailler au quotidien. Des soirées comme ça arrivent. L’autre jour, il a fait un grand match. »

L'ancien de New York va devoir rebondir dans le Game 3 à Minnesota. « Je connais Julius, je sais qu’il va bosser. Je sais que c’est un compétiteur, qu’il bouillonne en ce moment », ajoute Nickeil Alexander-Walker. « Il sera là le prochain match, prêt à se battre. On sera chez nous, on aura dormi dans notre lit, on sera devant notre public. Je ne suis pas inquiet, c’est un grand joueur. »