Le salaire a beau être modeste en comparaison avec ses homologues de la NBA, Caitlin Clark compte déjà parmi les sportives les mieux rémunérées au monde pour l’année 2024. Avec 11.1 millions de dollars de gains, la vedette du Fever sera la 10e athlète féminine la mieux rémunérée.

Sans surprise, son salaire de base – 76 535 dollars – pour son année rookie pèse peu dans ce montant. Grâce à des primes de performance, notamment 10 O00 dollars pour sa sélection dans le meilleur cinq WNBA (première rookie depuis Candace Parker en 2008 à être sélectionnée), ses revenus venant du terrain sont grimpés à environ 100 000 dollars.

Mais le plus gros de ses revenus provient de contrats passés, lors son passage universitaire avec Iowa, avec des marques exploitant son image. Plusieurs de ces marques, dont Nike, Gatorade, State Farm et Panini, ont poursuivi leur partenariat avec la joueuse désormais devenue professionnelle. Nike étant le contrat de sponsoring le plus important pour elle : un contrat de huit ans d’une valeur moyenne de plus de 3 millions de dollars par an signé en avril.

La répartition de ses revenus est, à peu de choses près, la même que Simone Biles, légende de la gymnastique, classée juste devant elle au classement. On retrouve des proportions similaires chez la skieuse acrobatique Eileen Gu qui, elle, a touché deux fois plus et se classe deuxième derrière la tenniswoman Coco Gauff, loin devant tout le monde avec plus de 30 millions de dollars.