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Coupe de France : Corentin Tolisso tacle Bradley Barcola avant la finale
A deux jours de la finale de la Coupe de France entre l'Olympique Lyonnais et le Paris Saint-Germain (à 21h sur beIN SPORTS 1), Corentin Tolisso est revenu sur le récent chambrage de Bradley Barcola envers les fans rhodaniens.
“La justice de Dieu”. Le 21 avril dernier, Bradley Barcola avait posté ce court mais subtil message, accompagné d’une photo de célébration de but avec Marco Asensio, sur son compte Instagram à l’issue de la large victoire du PSG face à l’OL en Ligue 1 (4-1). La raison ? Sifflé tout au long de la partie par le parcage lyonnais et victime de nombreuses insultes sur les réseaux sociaux, l’ex-joueur rhodanien, vexé et en colère, avait choisi d’y répondre avec cette action très commentée.
Avant cela, le jeune attaquant s’était également fait remarquer sur le terrain en célébrant sa passe décisive pour Lucas Beraldo en direction des supporters lyonnais, qui ne lui ont pas pardonné de déserter son club formateur pour rejoindre la capitale l’été dernier. A deux jours de la finale de la Coupe de France entre l'OL et le PSG qui se disputera à Lille (25 mai, à 21h sur beIN SPORTS 1), Corentin Tolisso a été invité à commenter cette affaire. “C’est sûr que sur la célébration, c’était un peu limite. On pourrait peut-être lui en vouloir un peu”, a d’abord lancé le milieu, dans des propos rapportés par Olympique et Lyonnais.
“Pour moi, c’était une petite erreur”
“Pour moi, c’était une petite erreur qu’il a commise. Lorsqu’on est jeune, on fait des erreurs. Sûrement que plus tard, il s’en rendra compte. Je pense qu’il a fait ça dans l’euphorie. Il a possiblement mal géré les insultes et le fait que les supporters lui en voulaient un peu”, a-t-il poursuivi, visiblement rancunier et touché par les actions de son ancien coéquipier. Une petite pique à laquelle tentera de répondre le principal intéressé sur le terrain. Une chose est certaine, les retrouvailles entre Bradley Barcola et son club formateur s’annoncent une nouvelle fois sulfureuses. Vivement samedi.