Joan Beringer a séduit les Wolves avec son potentiel
Alors qu'il n'avait pas joué au basket avant 2021, le jeune pivot français a tapé dans l’œil de la franchise de Minnesota.
Il y a quelques jours, les Wolves ont drafté Joan Beringer à la 17e place de la Draft. Un choix fort pour un jeune joueur de 18 ans, qui n'avait pas joué au basket avant 2021. Mais Minnesota avait un œil sur le Français depuis un an et son arrivée en Slovénie. Les images de ses prestations ont suffi pour convaincre la franchise.
« Dès qu'on le regardait, on était impressionné par ses instincts. Défensivement, il défendait sur les cinq postes. Il est très brut, mais brillant aussi et s'est développé à un rythme que je n'ai, honnêtement, jamais vu pour un joueur qui découvre le monde professionnel », explique Tim Connelly, le président des Wolves. « On ne le drafte pas pour son parcours mais j'ai tout de même été soufflé par ça. C'est ma 29e ou 30e Draft et c'est un des joueurs les plus uniques que j'aie observés. »
Unique et avec un potentiel énorme. C'est ça qui a intéressé avant tout les Wolves. « C'est vraiment excitant car on a de bons coaches et il est tellement malléable. On peut le développer comme on le désire. Il a été à bonne école avec le Cedevita. C'est juste dingue de voir un joueur avec de telles qualités et qui n'a pas de mauvaises habitudes », conclut le dirigeant.