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Mercato : Le Stade Rennais s’attache les services d'un nouveau défenseur
Très actif depuis le début du mercato hivernal, le Stade Rennais s’est offert une nouvelle recrue en la personne d’Anthony Rouault, défenseur central qui évoluait jusqu’à présent à Stuttgart.
Ne cherchez plus le vainqueur du trophée de principal agitateur du mercato hivernal en Ligue 1. Il va être remporté sans contestation par le Stade Rennais. En proie à de grosses difficultés sur le plan sportif, englué dans la partie basse du classement du championnat depuis de longues semaines, le club breton a en effet décidé de donner un gros coup de pied dans la fourmilière cet hiver afin de retrouver des couleurs et de ce fait sauver sa place dans l’élite. S’ils ont pour ce faire dans un premier temps changer d’entraîneur, remplaçant Jorge Sampaoli par un novice en Ligue 1, Habib Beye, les dirigeants rennais ont ensuite mis la main au portefeuille pour renforcer l’effectif Rouge et Noir.
Ainsi, le Stade Rennais a dépensé pas moins de 44 millions d’euros avant le dernier jour de mercato pour s'attacher les services de Seko Fofana, Brice Samba, Kyogo Furuhashi et Lilian Brassier. Une somme qu’il va toutefois falloir actualiser puisque la formation bretonne vient d’attirer dans ses filets une nouvelle recrue. Par l’intermédiaire d’une courte vidéo publiée sur ses réseaux sociaux, Rennes vient en effet d’officialiser l’arrivée d’Anthony Rouault. Âgé de 23 ans, le défenseur central s'est engagé jusqu'en 2029 et débarque en provenance de Stuttgart, club qu'il avait il y a un an et demi après son départ de Toulouse et avec lequel il a disputé 52 rencontres.
Réussite ou échec ?
Afin d’acter le retour du Tricolore dans le championnat de France, le Stade Rennais aurait déboursé près de 15 millions d'euros dans l'opération, ce qui porterait le chiffre total d’investissement en ce mercato hivernal à près de 60 millions d’euros. Une sacrée somme, d’autant plus en cette période de marché des transferts qui n’est pas forcément propice à sortir le chéquier et accumuler les dépenses. Mais les circonstances du moment ont contraint la direction des Rouge et Noir à prendre le taureau par les cornes pour secouer le cocotier. Ne reste plus qu’à savoir si cette somme investie portera ses fruits ou sera suivie d’un échec total, comme ça a été le cas l’été dernier. Rendez-vous à la fin de l’exercice en cours pour le découvrir.